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Ma vie à presque 40 ans
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31 mars 2012

quelques bribes ...

Je ne passe plus ici, n'y ailleurs; plus le temps.

Le WE dernier a été triste (enterrement de la mamie de 97 ans), et a ravivé de douloureux moments pour moi (enterrement de mon grand-père).

Mais ce WE a été l'occasion de discuté avec ma belle-mère à propos de Fiston; en tant qu'ancienne institutrice de maternelle et étant très ouverte à la discussion, je me tourne plus facilement vers elle que vers ma mère lorsque je ne sais plus quoi faire avec Fiston. Et elle m'a ouvert les yeux sur une chose : lorsque Fiston me fait des crises et "engage" le combat physique, c'est tout simplement qu'il recherche le contact avec moi !! Bien sûr ce n'est pas dans ce sens là qu'il le souhaite mais c'est mieux que rien; alors, j'ai compris que lorsque Fiston cherche l'affrontement, je dois l'ignorer, jouer la maman indifférente (ce sera sûrement très dur) et ne revenir vers lui que lorsqu'il sera calmé et acceptera le calin !! Pas facile à faire lorsque le temps est compté !!

Encore une semaine de stage pour moi dans cette dernière clinique et ensuite ....

Ensuite, je ne sais pas: repos, vacances, réflexions, prendre soin de moi ...

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Commentaires
F
Coucou, comment vas-tu ? <br /> <br /> J'espère que ca va mieux avec ton petit. <br /> <br /> Bises
F
Lorsqu'un enfant est en colère, il faut "contenir" sa colère. Je m'explique : mes filles font des colères, à des âges différents. Eileen, 6 ans, pique des colères parce qu'elle n'arrive pas à faire des choses, ou parce qu'elle n'est pas d'accord avec moi. Elle se met alors à crier, à taper (des choses) ou à pleurer. Dans ces cas là, je la laisse se "défouler", mais je reste toujours près d'elle. Car quand un enfant est dans cet état là, je pense qu'il ne faut pas le laisser seul. Il doit savoir que son parent est là, pour se sentir en confiance. Si il est isolé dans ce moment là, il peut ressentir l'abandon, et perdre confiance. Ce n'est pas toujours facile, mais j'essaye de rester près d'elle ou pas trop loin.<br /> <br /> Violette a deux ans. Quand elle pique une colère, je la prends dans mes bras en lui disant que je suis là. Quelques fois, la colère est trop forte, alors je suis pas trop loin, je lui caresse un bras, la jambe, en lui disant "je suis là, tu es en colère, je te comprends. maman est là." Et si la colère est trop forte, j'attends un peu que la pression baisse pour faire un calin.<br /> <br /> Ce que je veux dire par là, c'est qu'il me paraît important de ne pas laisser l'enfant seul dans ces moments là. Car la colère est quelque chose de fort pour lui, il se sent souvent démuni, et si le parent est près, ca le rassure.<br /> <br /> Il n'y a pas de solution toute faite, de parent parfait... Ces moments là sont dur à vivre, aussi bien pour l'enfant que pour le parent qui se revoit petit, face à ses propres colères...<br /> <br /> Tu peux lire "Aletha Solter" : Pleurs et Colères des enfants et des bébés, ce livre m'a beaucoup aidé.
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